Travaillant comme cadre supérieur au Siège de La Poste à Paris, j'utilise depuis des années la ligne SNCF de Saint-Lazare, et depuis près de 2 ans, je prend le train à la gare de Bonnières.
On ne peut compter, surtout depuis la mise en place des nouveaux horaires le 15 décembre 2008, les retards incessants, les suppressions pures et simples de trains sous des prétextes fallacieux, un total irrespect pour les voyageurs qui passent de 2 à 3 heures par jour dans les transports SNCF ou RATP. Mais, là c'en est assez ! On connaît bien les méthodes de Sud Rail et aussi quelquefois de la CGT: prendre les usagers en otages, se moquer d'eux en permanence.
Tout le monde sait bien qu'à Sotteville les Rouen, un des noyaux durs de la chienlit syndicale, des caisses noires permettent aux grévistes d'être payés pour pouvoir continuer leur petit jeu de grève et de suppression de train, en mentant en permanence aux usagers à propos des soi-disant "incidents d'exploitation" auxquels plus personne ne croit, même si le matériel est souvent vieilli.
En période de crise économique et financière où beaucoup de salariés sont menacés voire licenciés, cette situation ubuesque relève d'un énorme scandale dont les médias devraient beaucoup plus s'emparer pour pallier à la résignation qui nous guettent tous.Il faudrait peut-être que les usagers lancent un mot d'ordre de grève de paiement des titres de transport.
Merci au Comité des usagers de Monsieur Gomez de nous permettre que nous ne nous endormions pas dans une passivité qui pourrait s'avérer dangereuse.
Jean-Marc (Gasny)
Ces grévistes bien planqués sont une caricature du syndicalisme, un cirque ubuesque dont Sud Rail est l'empereur !
RépondreSupprimerSans conscience, bien égoïstes, il n'y a que leurs petites gueules qui comptent.
Les usagers : rien à foutre. Leur détresse, encore moins.
Ces conducteurs en grève sans risques financiers c'est comme si des soldats tiraient sur l'ennemi en face armé de fusil en bois !
Monique de Bonnières