Les Usagers refusent d‘être des victimes programmées et passives, nous exigeons que notre droit à nous déplacer pour nous rendre à notre travail et dans nos établissements scolaires soit respecté par l‘ensemble des parties.
Il est inacceptable que le conflit social entamé le 18 octobre provoque une nouvelle paralysie du trafic SNCF à partir du 13 novembre dans l‘indifférence quasi générale, des Responsables politiques et gouvernamentaux, des Dirigeants SNCF, des Responsables syndicaux et des médias.
STOP !
Les Usagers refusent d’être une nouvelle fois ignorés, laissés pour compte et sacrifiés dans un conflit social qu’ils ne maîtrisent pas et sur lequel ils n’ont aucune emprise.
Nous appelons les Employés de la SNCF, le Gouvernement, la Direction de la SNCF à faire preuve de RESPONSABILITE, il reste plusieurs jours pour établir un dialogue social, éviter une paralysie durable de la SNCF et épargner les usagers.
Nous vous rappelons que les usagers sont des citoyens, que par leur travail et leurs études, il contribuent à la vie sociale et économique de notre pays, nous rappelons également qu’ils subissent au quotidien des conditions de transports inacceptables : retards récurrents, suppressions de trains, vétusté du matériel, dessertes insuffisantes, inadaptation des infrastructures ferroviaires, manque d’intermodalité avec d’autres modes de déplacements et que les associations d’usagers dénoncent le manque de concertation.
Nous appelons les usagers à exprimer leur refus d’être les victimes du conflit en cours, avec détermination, responsabilité, sang froid et en évitant la confrontation avec le personnel de la SNCF.
Nous appelons dans un premier temps, les usagers à protester auprès des Elus, Maires, Conseillers Généraux et Régionaux, Député(e)s, Sénateurs et à se regrouper pour agir ensemble et sans attendre. (Nous informer de vos initiatives : usagersgares@aol.com )
Le droit à se déplacer doit être respecté, nous exigeons des transports publics fiables, modernes et de qualité. Il serait incompréhensible qu’au terme du Grenelle de l’Environnement, les usagers de la SNCF soient privés d’un mode de déplacement des moins polluants.
Il est inacceptable que le conflit social entamé le 18 octobre provoque une nouvelle paralysie du trafic SNCF à partir du 13 novembre dans l‘indifférence quasi générale, des Responsables politiques et gouvernamentaux, des Dirigeants SNCF, des Responsables syndicaux et des médias.
STOP !
Les Usagers refusent d’être une nouvelle fois ignorés, laissés pour compte et sacrifiés dans un conflit social qu’ils ne maîtrisent pas et sur lequel ils n’ont aucune emprise.
Nous appelons les Employés de la SNCF, le Gouvernement, la Direction de la SNCF à faire preuve de RESPONSABILITE, il reste plusieurs jours pour établir un dialogue social, éviter une paralysie durable de la SNCF et épargner les usagers.
Nous vous rappelons que les usagers sont des citoyens, que par leur travail et leurs études, il contribuent à la vie sociale et économique de notre pays, nous rappelons également qu’ils subissent au quotidien des conditions de transports inacceptables : retards récurrents, suppressions de trains, vétusté du matériel, dessertes insuffisantes, inadaptation des infrastructures ferroviaires, manque d’intermodalité avec d’autres modes de déplacements et que les associations d’usagers dénoncent le manque de concertation.
Nous appelons les usagers à exprimer leur refus d’être les victimes du conflit en cours, avec détermination, responsabilité, sang froid et en évitant la confrontation avec le personnel de la SNCF.
Nous appelons dans un premier temps, les usagers à protester auprès des Elus, Maires, Conseillers Généraux et Régionaux, Député(e)s, Sénateurs et à se regrouper pour agir ensemble et sans attendre. (Nous informer de vos initiatives : usagersgares@aol.com )
Le droit à se déplacer doit être respecté, nous exigeons des transports publics fiables, modernes et de qualité. Il serait incompréhensible qu’au terme du Grenelle de l’Environnement, les usagers de la SNCF soient privés d’un mode de déplacement des moins polluants.
Bonnières, le 3 novembre 2007
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